Changer les mentalités, changer les regards, mettre également en avant et au quotidien si possible, les bons résultats des élèves et du personnel de l’Education nationale. La tâche s’annonce ardue. Et pour cause.
“C’est culturel. On a du mal à dire aux gens qu’on les aime. On a du mal à les reconnaître dans leur excellence. On pense que cela va de soi. Si vous faites un travail formidable, vous êtes assez intelligent pour le savoir, on n’a pas besoin de vous le dire”.
Le recteur de La Réunion, comme beaucoup d’employés du public et du privé, sait que cela ne suffit pas. “Nous, nous disons aujourd’hui : il faut le dire. Il faut dire à ces jeunes qu’on les aime. Il faut dire au personnel de l’Education nationale qu’ils font un travail formidable. Et, il faut les distinguer.
La démarche est positive. Sans aucun doute. Mais, elle a aussi ses revers. Malheureusement. Et c’est humain. “La difficulté, c’est quant vous distingué une personne vous pouvez désenchanter les autres”.
Hier au lycée de Sainte-Suzanne, Mostafa Mourar a joint le geste à la parole. Le recteur a félicité Jean-Eddy Vidot, maître-ouvrier au lycée de Bel-Air “et à travers lui toute son équipe et les TOS de La Réunion qui font un travail formidable”.
“Et à l’échelle de notre académie, c’est toute de même 20 000 salariés, nos succès et nos bons résultats, c’est d’abord le travail et l’abnégation de ces 20 000 agents”, a affirmé Mostafa Fourat, recteur de La Réunion.
“C’est culturel. On a du mal à dire aux gens qu’on les aime. On a du mal à les reconnaître dans leur excellence. On pense que cela va de soi. Si vous faites un travail formidable, vous êtes assez intelligent pour le savoir, on n’a pas besoin de vous le dire”.
Le recteur de La Réunion, comme beaucoup d’employés du public et du privé, sait que cela ne suffit pas. “Nous, nous disons aujourd’hui : il faut le dire. Il faut dire à ces jeunes qu’on les aime. Il faut dire au personnel de l’Education nationale qu’ils font un travail formidable. Et, il faut les distinguer.
La démarche est positive. Sans aucun doute. Mais, elle a aussi ses revers. Malheureusement. Et c’est humain. “La difficulté, c’est quant vous distingué une personne vous pouvez désenchanter les autres”.
Hier au lycée de Sainte-Suzanne, Mostafa Mourar a joint le geste à la parole. Le recteur a félicité Jean-Eddy Vidot, maître-ouvrier au lycée de Bel-Air “et à travers lui toute son équipe et les TOS de La Réunion qui font un travail formidable”.
“Et à l’échelle de notre académie, c’est toute de même 20 000 salariés, nos succès et nos bons résultats, c’est d’abord le travail et l’abnégation de ces 20 000 agents”, a affirmé Mostafa Fourat, recteur de La Réunion.